Faut-il détruire Carthage ?
Peut on encore rêver d’une Europe et pourquoi pas d’un monde enfin débarrassé de l’influence d’un pouvoir politique qui consiste en un système de gouvernement où la richesse constitue la base principale de ce pouvoir (ploutocratie) ?
Pouvoir Atlantique que les Anglais ont transmis à l’Amérique et que nous subissons depuis le wagon euro-atlantique de Jean Monnet ?
La gauche de Biden -Macron and co, internationaliste, progressiste, mondialiste, antiraciste, bref de toutes obédiences a retrouvé les chemins qui du pacifisme dérivent vers le défaitisme et souvent la trahison.
Elle associe son mépris du peuple français, sa haine du peuple occidental, avec la quête, parmi les immigrés arabo-africains, d’un nouveau révolutionnaire en place des peuples « ouvriers » de jadis.
Dans la montée en puissance démographique en Europe de l’Islam, cette nouvelle gauche « libertaire » et « écologiste » voit dans la nouvelle « religion des pauvres » la solution.
La réponse lui permettant de chasser la domination de l’homme blanc « racialiste et colonialiste », permettant d’empêcher toute tentative d’endiguer l’immigration de peuplement qui se développe depuis trois décennies.
Cette obscure alliance entre le gauchisme, le mondialisme et l’islamisme a pour nom la « Triplice ».
Cette dernière a transformé la droite française en une gauche désillusionnée, qui n’espère qu’une chose, ne pas être accusée d’islamophobie et ne pas être confondue avec la droite « des heures sombres de notre Histoire ».
Charles Maurras leur fait toujours peur et la gauche toujours envie !
N’oublions pourtant pas que pendant ces heures sombres cette droite, parfois, ne démérita pas et fut la première à rejoindre le Général De Gaulle.
Par contre nous ne pourrons ignorer que le pacifisme fut le vecteur principal de la collaboration, les pacifistes de gauche entre autre furent nombreux à collaborer. Que la gauche de l’époque fut dominante dans le pacifisme et qu’elle fit porter le chapeau des fautes françaises, des trahisons et des crimes aux « fascistes » en ignorant les pacifistes fascinés un temps par l’Allemagne de Hitler.
La droite perdit enfin son influence lorsqu’elle renonça à ce qui faisait sa limite mais aussi sa grandeur : le conservatisme. Ce que nous rappelle, avec insistance, Raymond Vaneste, Eric Zemmour, Jean Messiha.
Elle y renonça pour le marché et l’Union Européenne.
De ce fait la droite n’était plus celle du Général De Gaulle et d’Adenauer qui tentaient l’impossible synthèse : le mouvement et le conservatisme, la droite et la gauche, la nation et l’Europe, l’autorité de l’Etat et la démocratie, l’industrialisation et le respect des traditions, la massification de l’Ecole et le maintien du niveau scolaire, l’alliance américaine et l’affirmation de la puissance française.
Mai 68 a tué De Gaulle ! Mais en le tuant, mai 68 a aussi tué la France avec l’aide de ses successeurs : Pompidou, VGE, Mitterrand, Chirac, Hollande et maintenant Macron.
Cinquante années d’assassinat progressif, impitoyable, un vrai rouleau compresseur écrasant tout : Mémoire, identité, culture, agriculture, commerce, industrie etc. Tout ce qui est local ou national, tout ce qui est français de souche, c’est à dire remplaçable par plus taillable et corvéable à merci que lui !
Le moment n’est il pas venu de la ressusciter ?
C’est l’objectif des soldats de Cygne Noir !
Francis-claude Neri
Cygne Noir
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